« Pour essayer quelque chose de différent, essayer quelque chose de nouveau, il faut faire des efforts monumentaux. »
Découvrez l’expérience de l’Office national de l’énergie, désormais la Régie de l’énergie du Canada, qui, après avoir reçu des critiques sur l’état de ses données il y a quatre ans, est maintenant reconnu parmi les leaders du gouvernement en matière de données ouvertes et de visualisation des données. L’Office s’apprête maintenant à mettre en œuvre un certain nombre de technologies pour ses données, notamment : la reconnaissance du langage naturel pour classer des années de témoignages verbaux indigènes ; la numérisation et la classification par crowd sourcing de l’évaluation environnementale en vue d’utiliser l’IA dans ce domaine ; et la refonte de son système interne de dépôt de documents afin de le transformer en données utilisables et utiles dès la première entrée. Tout cela en partenariat avec les principaux universitaires du Canada, Code for Canada et d’autres experts.
Au lieu de parler des réalisations, l’accent est mis sur le processus. Quels sont les points de friction ? Qu’est-ce qui a fait de cette transformation particulière un événement unique et prometteur ? Pourquoi certaines tentatives ont-elles échoué à obtenir le soutien des analystes et pourquoi d’autres ont-elles réussi ? Et que faudra-t-il pour assurer la durabilité de ce nouveau modus operandi (MO) ?
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