FWDThinking Épisode 7 : En conversation avec James Duncan

Alistair Croll, co-fondateur de FWD50, est rejoint par James Duncan de Stance Global.

Publié le 15 févr. 2021

Toutes les opinions exprimées dans ces épisodes sont personnelles et ne reflètent pas les opinions des organisations pour lesquelles nos invités travaillent.

 

James Duncan est connu pour ses perturbations technologiques. À 15 ans, après avoir accumulé des factures d’appels interurbains pour se connecter aux systèmes de babillards électroniques (BBS) aux États-Unis, il décide de lancer son propre fournisseur de services Internet à Hawkesbury, dans l’Ontario (avec l’aide de son père, bien sûr.)

Suite à une carrière dans les startups technologiques, il se rend au Royaume-Uni pour occuper les postes de dirigeant principal de la technologie du Public Sector Network et de conseiller technique principal pour le Government Digital Service, qui fait partie du bureau du cabinet britannique. Aujourd’hui, James est associé fondateur à Stance.global, où il aide les gouvernements du monde entier dans leurs efforts de transformation numérique.

Je connais James depuis des années, mais nous n’avions pas discuté depuis un certain temps. Quand j’ai constaté qu’il commentait sur les logiciels au sein du gouvernement sur Twitter, j’ai su que nous avions beaucoup de retard à rattraper.

 

James Duncan Tweet

 

James déclare que son travail actuel consiste à « vous aider à faire face au 21e siècle ». Dans cette première conversation de la série FWDThinking de 2021, nous évoquons le rétablissement de la confiance du public, la nécessité de ne pas se contenter de lancer des projets, mais d’en assurer la maintenance et la fin de vie, la résistance aux infrastructures technologiques nationalisées et les raisons pour lesquelles les cuirassés doivent être autosuffisants.

James ne mâche pas ses mots : « Tout ce qui comporte une phase de construction et d’exploitation est voué à stagner », souligne-t-il, suggérant que les hiérarchies gouvernementales doivent ressembler aux services qu’elles fournissent. En fin de compte, une grande partie de son travail n’est pas de nature technologique, mais plutôt de stratégie exécutive de base : connaître sa mission, savoir où la valeur est créée, évaluer sa capacité d’écoute et distinguer l’utilité marchande de la différenciation stratégique.

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