Nous avions imaginé ce que pourrait devenir le FWD50 en tirant parti des technologies virtuelles qui encouragent les échanges et les liens authentiques. La pandémie de la COVID-19 nous a séparé physiquement, mais nous avons trouvé le moyen de réunir des technologues civiques de tout le Canada, et du monde entier, dans un environnement entièrement virtuel.

Nous avons posé des questions inattendues et avons suscité l'intérêt du public par le biais de messages instantanés, de plateformes sociales et du matériel en tant que tel. Nous avons également diffusé des séances en direct dans des formats captivants, notamment des entretiens, des discours et des panels de réactions en chaîne avec des experts du monde entier.

Nous avons utilisé une plateforme numérique pour solliciter des questions et réaliser des sondages auprès du public en direct. De plus, après les conférences virtuelles, les participants pouvaient rencontrer les conférenciers dans un outil de mise en réseau spatial qui leur permettait de discuter facilement par vidéo.

Grâce à des technologies de vidéo virtuelle telles que Zoom, nous avons créé des séances de travail en petits groupes afin d'aborder des problèmes complexes et de réfléchir à des solutions avec les participants.